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Mais encore ?

L’enlèvement : ce sera la disparition subite d’une partie de la population de la Terre, qui se produira bientôt et qui surprendra tous les habitants de la planète.

 

Oui mais c’est quoi ?

 

C’est le Seigneur Jésus-Christ qui vient chercher son épouse : L’Église

(L’Église : il ne s’agit pas d’une dénomination quelconque mais de l’ensemble de tous ceux qui auront répondu aux critères du salut, c’est-à-dire, la repentance et la foi, ainsi que la nouvelle naissance par l’Esprit Saint, qui vient habiter dans l’esprit du croyant né de nouveau-né.

Et ensuite, que va-t-il se passer ?

Premièrement, si l’enlèvement a eu lieu et que vous êtes encore là, vous comprendrez alors que ceux qui vous auront avertis, de cet événement et de ceux qui viendront par la suite, ne plaisantaient pas!

L’enlèvement aura l’effet d’un botté d’envoi, comme au football. Ensuite, les événements se dérouleront rapidement en trois étapes, trois séries de fléaux :

 

Les sept sceaux

Les sept trompettes

Les sept coupes

Les sceaux ne frapperont qu’une partie de la Terre et par conséquent, une partie seulement de ses habitants (1/4 d’entre-eux, c’est-à-dire 2 milliards d’individus périront dans moins de 42 mois).

Les trompettes augmenteront le niveau d’intensité pour lui faire atteindre 2/3. En terme de décès, cela totaliserait une fois de plus 2 milliards d’individus soit : 1/4 de 8 milliards = 2 milliards + 1/3 de 6 milliards = 2 milliards. Par conséquent, à l’occasion des sceaux et des trompettes, la moitié de la population de la planète trouvera la mort, soit 4 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants.

10 Le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée. 11 Puisque donc toutes ces choses doivent se dissoudre, quelles ne doivent pas être la sainteté de votre conduite et votre piété, 12 tandis que vous attendez et hâtez l’avènement du jour de Dieu, à cause duquel les cieux enflammés se dissoudront et les éléments embrasés se fondront ! 2 Pierre 3 :10-12

Dans ces trois versets, on trouve trois fois le mot : dissoudre (grec : λυω - luo = signifie aussi : être anéanti, détruit, brisé).

On trouve aussi le mot : élément (grec : Στοιχείον - stoicheion = les éléments primaires (feu, terre, air, eau), les rudiments du monde.

et les éléments embrasés se fondront ! fondront (grec : τηκω – teko = se fondre, se dissoudre, se liquéfier, se fusionner)  

Se fusionner, quelle image pour décrire une bombe thermo-nucléaire!

La description ci-haut, présentée dans ce verset ressemble étrangement aux effets que pourraient avoir une ou plusieurs bombes thermo-nucléaires. Le graphique est une échelle pour calibrer les différents événements reliés au nucléaire.

 

Voici une introduction du texte d’un médecin qui se trouvait à Hiroshima, lors de l’attaque nucléaire américaine le 06 août 1945

« Michihiko Hachyia était médecin et dirigeait les communications de l’hôpital à Hiroshima quand, le 6 août 1945, la bombe nucléaire a été larguée sur la ville. De cet instant où tout a basculé, ce médecin se souvient d’une immense lueur blanche et lui, qui l’instant auparavant, était en caleçon et maillot de corps dans sa maison, s’est retrouvé dans son jardin complètement nu. S’ensuit ensuite une description méticuleuse des semaines qui ont suivi le « pika » (mot japonais qui désigne une lueur) et la lente agonie pour nombre de japonais et japonaises touchés par les radiations. le journal est écrit entre le 6 août et le 30 septembre. Les premiers jours sont consacrés à l’état de sidération dans laquelle sont plongés les habitants d’Hiroshima confrontés à un phénomène effroyable, capable de brûler atrocement les individus, de faire fondre matériels et vêtements. Le docteur lui-même a été grièvement blessé et ceux qui l’ont soigné ont cru qu’il allait mourir. Heureusement, peu à peu il s’est remis, ce qui lui a donné la possibilité d’étudier plus attentivement, les malades qui avaient pu se réfugier dans son hôpital et de s’interroger sur le type de bombe larguée au-dessus de la ville.

On le voit qui constate que des malades, ayant apparemment repris des forces, présentent tout à coup des symptômes mystérieux : nombreuses pétéchies sur le corps, vomissements, diarrhées sanglantes avant une mort douloureuse. Il fut le premier à rédiger un article scientifique qui paraîtra dans un journal sur les conséquences de la bombe avant que les américains n’interdisent toute publication sur le sujet.

C'est un témoignage à la fois bouleversant et terrifiant sur ce que fut la réalité de cette bombe nucléaire, destinée - c'est ce que prétendaient les USA - à mettre un terme à une guerre qui aurait duré encore trop longtemps.

Quoi qu'il en soit, ce sont les habitants d'Hiroshima qui en ont payé lourdement les conséquences, qui ont vu leurs vies rasées en un éclair, installant dans la société un traumatisme qui perdure encore »[1]

 

Voici donc un court extrait de ce témoignage.

« Le long de la rivière Ohta, la route de campagne, blanche et sèche, menait tout droit au pied du kinoko gumo. Je ne croisai ni homme ni bête. J'étais rempli d'effroi, mais j'étais médecin, officier de surcroît, et le sens du devoir me commandait. Seule cette vanité me faisait vaincre la peur et me poussait à aller de l'avant, à pédaler de toutes mes forces sur cette bicyclette. A mi-chemin de la ville, à la hauteur d'une ishijizo (statue de pierre bouddhique), la route descendait tout droit, puis tournait brusquement à gauche, là où la montagne s'avance dans la rivière.

 

Je dévalais la pente à toute vitesse, quand une silhouette apparut dans le virage. Était-ce encore un être humain ? Il s'approcha de moi, en vacillant. Il était nu, en sang, couvert de boue, le corps enflé. Des lambeaux de vêtements déchirés pendaient sur sa poitrine et autour de sa taille. Il tenait les mains devant son torse, la paume vers le bas. Des gouttes d'eau tombaient des bords de ses haillons.

 

Mais quand il fut près de moi, je vis que les lambeaux de tissu n'étaient autres que sa peau et les gouttes d'eau du sang humain. Je ne pouvais distinguer si j'avais devant moi un homme ou une femme, un soldat ou un civil. La tête était singulièrement grosse, avec des paupières boursouflées et de grosses lèvres en saillie qui semblaient occuper la moitié du visage. Il n'y avait plus un seul cheveu sur le crâne brûlé.

 

Je ne pus m'empêcher de reculer. Je vis alors une procession d'autres silhouettes qui montaient lentement vers moi, le long de la route. Je n'avais ni médicaments ni instruments avec moi. J'étais désemparé. Il m'était impossible de me frayer un chemin entre ces malheureux. J'ai sauté dans la rivière sans hésiter. Je me hâtai de descendre le cours de la rivière, sous la végétation luxuriante qui croît le long des berges en été.

 

Poussés par un vent violent, des nuages de fumée tourbillonnaient à la surface de l'eau. Le souffle brûlant me giflait le visage, la fumée chaude me suffoquait ».[2]

Peut-être m’accusera-t-on de voyeurisme, de sensationnaliste, mais je crois qu’il est important de dire les choses comme elles sont, surtout lorsqu’il s’agit de dépeindre les horreurs futures, à partir de celles qui se sont produites.

L’inversion mentionnée plus haut, parle-t-elle à la fois de la colère de Dieu et de celle des hommes ?

 

[1] https://www.babelio.com/livres/Hachiya-Journal-dHiroshima--6-aout-30-septembre-1945/324358

[2] Compte-rendu du Dr. Shuntaro Hida de la bombe d’Hiroshima pris sur: http://www.dissident-media.org/infonucleaire/temoig_hida.html

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